« C’est très violent d’être persona no grata chez soi. Vous savez, je réponds avec les armes que j’ai », a-t-il poursuivi dans un entretien chez nos confrères de Radio France Internationale (Rfi).
Invité de l’émission Couleurs Tropicales sur Radio France Internationale (Rfi), l’artiste camerounais Richard Bona, soutient qu’il a été interdit de mettre pieds au Cameroun. Ce dernier répondait là, à une question du présentateur de l’émission qui lui demandait s’il pouvait construire une école de musique au Cameroun.
« Je suis persona no grata au Cameroun. Quand on est persona no grata au Cameroun, on est interdit de territoire. Soyons dans la logique. Moi je marcherais toujours dans l’ordre de la logique. On m’a fait persona non grata au Cameroun sans aucun motif. J’ai demandé c’est quoi le motif de l’interdiction on ne m’a jamais donné le motif. Je vais là où je suis célébré pas là où je suis toléré », a soutenu Richard Bona.
« Il y a un proverbe Tutsi qui dit vas là où on aime ta danse », a ajouté Claudy Siar le présentateur de l’émission Couleurs Tropicales sur Rfi, à l’argumentaire de Richard Bona. « C’est très violent d’être persona no grata chez soi. Vous savez, je réponds avec les armes que j’ai. Moi je n’en veux pas aux gens. Regardez la vie que je mène pourquoi j’en voudrais à un être humain. Je gagne bien ma vie », a poursuivi Richard Bona.
« C’est très violent d’être persona no grata chez soi. Vous savez, je réponds avec les armes que j’ai », a-t-il poursuivi dans un entretien chez nos confrères de Radio France Internationale (Rfi).Invité de l’émission Couleurs Tropicales sur Radio France Internationale (Rfi), l’artiste camerounais Richard Bona, soutient qu’il a été interdit de mettre pieds au Cameroun. Ce dernier répondait là, à une question du présentateur de l’émission qui lui demandait s’il pouvait construire une école de musique au Cameroun. « Je suis persona no grata au Cameroun. Quand on est persona no grata au Cameroun, on est interdit de territoire. Soyons dans la logique. Moi je marcherais toujours dans l’ordre de la logique. On m’a fait persona non grata au Cameroun sans aucun motif. J’ai demandé c’est quoi le motif de l’interdiction on ne m’a jamais donné le motif. Je vais là où je suis célébré pas là où je suis toléré », a soutenu Richard Bona.« Il y a un proverbe Tutsi qui dit vas là où on aime ta danse », a ajouté Claudy Siar le présentateur de l’émission Couleurs Tropicales sur Rfi, à l’argumentaire de Richard Bona. « C’est très violent d’être persona no grata chez soi. Vous savez, je réponds avec les armes que j’ai. Moi je n’en veux pas aux gens. Regardez la vie que je mène pourquoi j’en voudrais à un être humain. Je gagne bien ma vie », a poursuivi Richard Bona.